Les racines d’une belle histoire

1938, création d’une charcuterie de famille à Sainte-Foy-l’Argentière, au cœur des Monts du Lyonnais, une des grandes régions de culture et de tradition charcutières Françaises.

Ogier

Une belle histoire de famille

^

1938

L’aventure Ogier commence

C’est en 1938 que M. Catherin OGIER ouvre une charcuterie de village dans le centre de Sainte-Foy-l’Argentière, au cœur des Monts du Lyonnais, et profite de plusieurs influences :
– Un climat de basse montagne qui garantit un séchage idéal et le bon développement de la fleur naturelle sur les produits de salaison
– Un terroir de culture et de tradition charcutière reconnu depuis plusieurs siècles
– Lyon, une ville de gastronomie et de spécialités culinaires.
Après-guerre, les clients de la maison OGIER sont essentiellement des bouchers, des charcutiers et des grossistes.

^

1969

Une affaire de famille

En 1969 Michel OGIER fils de Catherin OGIER, reprend l’affaire avec sa femme. Les clients sont « naturellement » les charcutiers lyonnais qui apprécient le goût si authentique des porcs de la région, porcs élevés à la campagne et abattus sur place.
Puis, agrandissement par deux fois du site historique pour cause d’une production croissante au regard du succès auprès des revendeurs de la région.

^

1993

Nouvelle unité de production

Nouvelle unité de production pour mieux répondre au standard d’hygiène grandissant

^

2003-2004

Revente

Revente à un groupe d’entrepreneurs

^

2009

Rachat par Philippe MICHEA

Après une petite période difficile, rachat par Philippe MICHEA, un passionné de bons produits artisanaux fabriqués dans le respect des recettes ancestrales de la région.

Il redynamise la société et redonne ses lettres de noblesses aux produits dont nous sommes tous fiers

^

2017

L’expansion

Pour répondre à une demande de plus en plus croissante, Philippe Michéa agrandit les ateliers de production de plus de 1000m² comprenant embosseuse, séchoir, poussoir, groupe froid.

 

^

2019

2019 : Le groupe Espagnol ARGAL rachète la majorité de la Salaison Ogier

C’est autour de valeurs communes partagées, telles que le vécu dans le temps (naissance ARGAL 1914 et OGIER 1938), et un vrai savoir-faire « charcutier » que le Groupe ARGAL a racheté la salaison OGIER. Un regroupement qui apporte aux consommateurs des produits avec les goûts typiques des terroirs de France et d’Espagne et ainsi faire découvrir les recettes traditionnelles de deux pays où les hommes sont passionnés de bonne charcuterie.

Pourquoi le nom de Sainte-Foy-l’Argentière ?

Sainte-Foy-l’Argentière tient son nom d’une mine de plomb « argentifère » qui daterait du temps des Romains. Son nom serait cité pour la première fois en l’an 900 et devient officiellement commune de Sainte-Foy-l’Argentière en 1790.

Sainte-Foy-l’Argentière, années 30

Sainte-Foy-l’Argentière, aujourd’hui

Ogier, au cœur d’un terroir de culture et de traditions salaisonnières et charcutières

Il n’est pas possible d’évoquer les Monts du Lyonnais, région où est implantée la marque OGIER, sans parler de salaison. Depuis le début du XIXème siècle, la fabrication du saucisson sec en est la principale activité économique, qui est devenue une véritable culture du bon produit, permettant de recruter du personnel.

Le lieu
Le site de production se situe à Sainte-Foy-l’Argentière, village entouré de montagnes environnantes dont les sommets culminent à un peu moins de 1 000 mètres. Il est donc protégé des intempéries et à l’abri des brouillards humides. Il en résulte un climat et des conditions de température et d’hygrométrie favorables à la bonne maturation des saucissons secs.
L’approvisionnement en viandes

Il est assuré en grande partie par l’élevage régional d’Auvergne. Cette région était autrefois une halte transitaire pour les convois de bestiaux partis du Massif Central à destination de la ville de Lyon.

Les hommes
Ayant la matière première sur place, c’est de père en fils que les fabricants de saucisson ont transmis leur savoir-faire et leur passion du saucisson. La première « fabrique » aurait été créée au milieu du XVIIIème siècle. Les fabricants des Monts du Lyonnais ont su ainsi avec le temps, acquérir une belle renommée.